« Lingui, les liens sacrés » Jeudi 30 mars 18h45 

au Cinéma Le Pagnol à Aubagne

Ce film est proposé par Peuples Solidaires du pays d’Aubagne - Action Aid et la Ligue des droits de l’homme Aubagne-La Ciotat

Dans le cadre du collectif "Ciné Transition » le 30 mars nous présentons le film "Lingui, les liens sacrés" du réalisateur tchadien, vivant en France, Mahamat-Saleh Haroun. 

Une jeune fille de 15 ans est enceinte à la suite d'un viol. Sa mère, qui l'a élevée seule va l'aider à avorter, ce qui est interdit au Tchad. Lingui signifie "lien", lien d'entraide au sein de la famille, avec les amis, la communauté. Face au poids des traditions et des interdits, une forte solidarité féminine se crée autour de la jeune fille et de sa mère. 

Ce film résonne en notre époque où l'avortement est fortement menacé dans certains pays, où les grossesses précoces sont nombreuses - le village de Kalembouly dont nous sommes partenaire est confronté à ce problème -, où la solidarité féminine, la sororité, se révèlent indispensables.

Le film a été présenté au festival de Cannes en 2021 et a connu un bon accueil critique, particulièrement sur le plan esthétique.

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Ce film, réalisé par Aïssa Maïga, sera projeté au cinéma « Le Pagnol » (Aubagne) le jeudi 12 Mai dans le cadre de la quinzaine du Commerce équitable.  Il est proposé par Agglo Consommateurs Solidaires (ACS) et Peuples Solidaires du pays d’Aubagne - Action Aid

Une réponse aux inégalités sociales, au défi climatique, retrouvez des produits du commerce équitable à la boutique « Monde Équitable » 7 rue Martinot à Aubagne.

Au nord du Niger, le village de Tatiste, victime du réchauffement climatique, se bat pour avoir accès à l’eau. 

Chaque jour, Houlaye, quatorze ans, comme d’autres jeunes, marche des kilomètres pour aller puiser l'eau, essentielle à la vie du village. Cette tâche quotidienne les empêche, entre autres, d'être assidus à l'école. 

L'absence d'eau pousse également les adultes à quitter leur famille chaque année pour aller chercher au-delà des frontières les ressources nécessaires à leur survie. 

Pourtant, cette région recouvre dans son sous-sol un lac aquifère de plusieurs milliers de kilomètres carrés.    Il suffirait d'un forage pour apporter l’eau  au centre du village et offrir à tous une vie meilleure...

Aïssa Maïga, actrice et réalisatrice française est née le 25 mai 1975 à Dakar. 

Elle côtoie différentes cultures : « J’ai eu la chance d’avoir reçu une éducation musulmane, catholique et laïque. J’étais à l’école coranique en vacances au Mali avec ma grand-mère. Puis j’ai été élevée par un oncle laïc à l’extrême. Et enfin j’ai eu une grand-mère adoptive fervente catholique… Je crois que c’est exceptionnel». « J’ai également eu une grand-mère adoptive qui venait d’Indochine. J’ai donc évolué avec cette culture vietnamienne». 

En France, le grand public la découvre notamment en 2004 dans Les Poupées russes de Cédric Klapisch et dans L'un reste, l'autre part de Claude Berri.

En 2021, elle sort deux documentaires : Regard noir est présenté au festival international de film de femmes de Créteil puis Marcher sur l'eau au festival de Cannes. 

Jeudi 2 décembre 18h45 au cinéma Le Pagnol à Aubagne, film à 19h.

Shimu, 23 ans, travaille dans une usine textile à Dacca, au Bangladesh. Face à des conditions de travail de plus en plus dures, elle décide avec ses collègues de monter un syndicat, malgré les menaces de la direction et le désaccord de son mari. Ensemble, elles iront jusqu’au bout.

La projection sera suivie d'un débat en présence de Salma LAMQUADDAM, chargée de campagne  Droits des Femmes au travail à Action Aid France

Pour en savoir plus dossier de presse : 

Télécharger « made-in-bangladesh-dossier-de-presse-francais.pdf »

80 personnes se sont retrouvées pour assister au concert de Michel Dinard assisté par Michel Cicotti (guitare) et Pascal Delalée (violon).

C'était donc une salle bien garnie qui a, dans son ensemble, apprécié cette représentation.

La recette de la soirée ira agrandir le soutien financier qu'apporte notre groupe aux villageois de Kalembouly.

Vous pouvez retrouver sur notre page Facebook des extraits du concert.

Présentation de la soirée

4 associations se sont associées à l'occasion de la semaine pour les alternatives aux pesticides pour projeter le dernier film du réalisateur argentin Fernando Solanas : "Le grain et l'ivraie". Jardilien, Résol21, EcoRéseau et Peuples Solidaires.
Jeudi 4 avril 2019 18h45 au cinéma le Pagnol à Aubagne

Fernando Solanas voyage caméra aux poings à travers sept provinces argentines à la rencontre des populations locales, d’agriculteurs et de chercheurs qui nous racontent les conséquences sociales et environnementales du modèle agricole argentin : agriculture transgénique et utilisation intensive des agrotoxiques (glyphosate, épandages, fumigations) ont provoqué l’exode rural, la déforestation, la destruction des sols mais aussi la multiplication des cas de cancers et de malformations à la naissance. Le récit de Fernando Solanas évoque aussi l'alternative d’une agriculture écologique et démontre qu’il est possible de produire de manière saine et rentable des aliments pour tous, sans pesticides, pour reconquérir et préserver nos milieux naturels.

A l'issue de la projection, vous pourrez débattre autour d'un buffet à base de produits locaux et bio.

Ensuite un Café-Transition organisé par le Collectif Transition Citoyenne du Pays d’Aubagne aura lieu le samedi 27 avril à partir de 15h à Jardilien (Traverse de l'Eglise - Saint Pierre Les Aubagne) à l’occasion de sa journée portes-ouvertes. Nous pourrons envisager à cette occasion comment développer une agriculture locale et respectueuse de l’environnement.